mercredi 7 février 2018

Chronique définitive d'Aurélien Bellanger

Bonjour Monsieur Aurélien Bellanger,
j'avais eu la joie de vous envoyer un courrier le 4 janvier pour vous demander de signaler la demande de classement du centre commercial de Claude Parent à Ris-Orangis. J'avais cru à tort, à une forme de proximité.
Depuis, vous passez à côté, tout proche, comme si vous ne vouliez pas y toucher de peur que l'on vous retire, sans doute, votre originalité.
Vous avez, en effet, depuis mon courrier, réalisé une chronique sur les centres commerciaux (!) et ce matin sur le Brutalisme, sans jamais évoquer le cas de Ris-Orangis et son combat.
Cette manière est bien particulière, celle qui consiste publiquement à user des cordes que l'on vous tend sans en rendre la tension.
Ce n'est pas très grave dans le fond, on a l'habitude. C'est l'histoire de la Droite. Il y a ceux qui agissent et ceux qui parlent.
Vous n'avez même pas répondu à ma lettre, même pas pour me dire non, laissant mon écoute à votre chronique me raconter votre dédain joyeux.

Picoti, Picota, léve la queue et puis s'en va....

Je suis le mur.
Continuez à picorer mon courrier.

Bonne journée, Monsieur Bellanger.








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